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MA VIE, D'HIER À AUJOURD'HUI

L'histoire de comment je suis devenu qui je suis et de ce que j'en fais à présent

Ma vie: Bienvenue
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24 HEURES PUZZLE

semaine du 29 octobre 2018

Pour la première fois, après plusieurs années de tentatives, ma sœur Morgane a enfin réussi à nous inscrire pour les 24 heures puzzle de Hannut.
Notre équipe était donc constituée de Morgane, Chloé une amie à elle, Emily et moi. Pas vraiment entrainés mais motivés et prêts à en découdre.
Cette journée était partagée entre le folklore de l’œuvre caritative et la compétition pure et dure. 128 équipes étaient inscrites pour environ 1000 participants.
Arrivés sur place, nous fûmes confrontés à une première surprise. L’aspect décoratif de la chose. Chaque équipe s’est empressée d’embellir ces 5m², dans lesquels elles allaient passer 24 heures. Un concours de beauté était organisé.
Deuxième surprise, les équipes ne devaient pas être constituée de 4 personnes mais d’autant que voulu. La règle était qu’on ne pouvait pas être à plus de 4 en même temps. Petite nuance mais qui fait une belle différence.
Heureusement, quelques renforts nous ont rejoints, qui avaient à la base simplement signé pour être supporter. Un peu de sang frais ne nous a pas fait de mal.
Faire des puzzles sans pauses pendant des heures peut avoir un aspect repoussant et rébarbatif mais notre petite expérience nous a montré que ceux qui ont aidé ont vite été victime de l’engouement de la chose et n’ont plus vu les heures défiler.
Départ sur les chapeaux de roue : c’était impressionnant de voir chaque participant courir pour apporter le plus vite possible le premier puzzle à sa table, l’ambiance était au beau fixe.
Qu’en reste-t-il ? Une bonne dose de fatigue tout d’abord. Heureusement que je n’avais cours le lundi matin. Cela m’a permis de faire le tour de l’horloge dans mon lit. Ensuite et surtout, une expérience que je n’oublierai pas de si tôt.
Notre résultat ? Mmh… très bien, parlons-en. Sur les 128 équipes inscrites nous sommes arrivés… 127ème. Pas franchement brillant mais le principal était de participer et de tenir le coup. Chose promise, chose due et l’honneur est sauf. Au total, nous avons assemblé plus de 4500 pièces ce qui représente 4 puzzles terminés, un abandonné et un dernier que nous n’avons pas réussi à finir avant le gong final.
ON y retournera peut être, pas forcément l’année prochaine mais avec une plus grande équipe et tout aussi motivé… qui sait peut être serons-nous 125ème .

Ma vie: À propos

MES PREMIERS JEUX DE SOCIÉTÉ

semaine du 22 octobre 2018

Comme j’ai déjà pu vous en parler dans mon premier article, j’ai eu un rapport étroit avec le jeu tout au long de ma vie et cela commence donc avec l’enfance. Je vais vous livrer aujourd’hui mes premières expériences en tant que « créateur de jeux de société ». J’utilise évidemment des guillemets car cette dénomination n’est certainement pas légitime.
L’ordre de présentation n’est pas chronologique car mes souvenirs ne sont pas assez précis mais ils se situent tous avant mes douze ans et ne seront donc pas des colons de Catane ou les aventuriers du rail pour les connaisseurs… Seulement des débuts de pistes mais je trouve cela néanmoins intéressant.
Le premier jeu dont j’aimerais vous faire part s’appelait Gameboy papier. Le principe était simple. Je voulais retranscrire une histoire comme sur mon Gameboy mais sur papier car mes compétences en informatique étaient encore plus ridicules aujourd’hui, et heureusement !
La seule personne à y avoir joué est ma mère, avant chaque partie je préparais une quête qu’elle allait devoir résoudre. Par exemple je me souviens du début de la première partie ; la carte était assez petite et le chemin pour le village était bloqué par des branches de bois tombées à cause de l’orage. Pour les enlever il fallait demander de l’aide au fermier et le convaincre en lui donnant les branches pour faire un barrage, qui lui-même amenait de l’eau au village, quelque chose dans ce gout-là. Pour jouer elle devait dire : « Je vais voir là-bas ou là-bas » et je lui répondais ce qu’elle voyait ou ce qu’on lui répondait.
Nous n’avons pas eu l’occasion d’y jouer énormément. Se libérer du temps pour un parent avec le travail, les tâches quotidiennes et les trajets pour les activités extra-scolaires n’est pas toujours chose aisée. Cependant nous avons joué assez pour que cela me marque.
C’est assez amusant de voir que le jeu vidéo, inspiré du jeu en tout genre et parfois du jeu de société m’a influencé à son tour pour revenir à un jeu classique. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme comme disait Lavoisier.
Une deuxième création était une adaptation plus fidèle d’un jeu, toujours sur Gameboy appelé « Titi et les bijoux magiques ». Dans ce jeu, il fallait récupérer sur tous les continents les fameux bijoux magiques ou les piquer aux autres afin de pouvoir sauver Titi qui se transformait peu à peu en pierre. Le premier qui réunissait les 5 bijoux remportait la victoire et si personne n’avait regroupé les cinq après un certain temps, tout le monde avait perdu.
L’idée m’était venue de reconstituer le jeu et donc le plateau. Pour se faire, j’y avais joué des heures et mes feuilles A4 collées les unes aux autres formaient un plateau de plus en plus grand. Au final, j’avais créé un beau plateau en couleur sur un panneau A1. J’avais incrusté un curseur pour la pétrification de Titi avec l’aide de maman. Un problème s’était pourtant présenté à moi. Dans le jeu, on se déplaçait en tirant des cartes ce qui est adaptable mais on pouvait se voler des objets et des bijoux en se confrontant dans des mini jeux, ce qui l’était beaucoup moins. Il a longtemps pris la poussière pour finalement ne pas passer la difficile épreuve du déménagement.
Je ne pense pas que ces jeux soient des exceptions dans mon parcours. Je suis plutôt persuadé que j’ai dû faire d’autres choses dont je ne me souviens pas. J’ai récemment retrouvé un plateau de jeu. L’idée était semble-t-il que nous ne connaissions pas à l’avance le bon chemin à emprunter avant de soulever le sommet de la pyramide. Cela s’arrêtait là mais je trouve encore aujourd’hui l’idée drôle. J’ai un autre souvenir où on se déplaçait sur un plateau à l’aide d’une cocotte car je n’avais pas trouvé de dé. Cette cocotte contenait des pièges et apportait une vraie plus-value.
Cette façon de réagir à une situation par le jeu, trouver une solution ludique est je pense une force mais est aussi ce qui pourrait causer facilement ma perte. Voir tout comme un jeu n’est parfois pas la solution à adopter dans la vie ou dans le système scolaire qui est le nôtre. Souvent lié à un manque de rigueur cela m’a causé des problèmes et m’en cause encore aujourd’hui. J’espère tout de même que je garderai cet esprit d’enfant longtemps tout en gérant les problèmes avec sérieux en amuïssant la paresse.
Enfin, si cet article s’appelle « Mes premiers jeux » ce n’est pas pour rien. Je vous présenterai tôt ou tard le concept et les grandes règles des jeux que j’ai créé cette année 2018.

Ma vie: À propos

SECRÉTAIRE D'UN BUREAU DE DÉPOUILLEMENT

semaine du 15 octobre 2018

Soyons clair, je ne parlerai pas ici de politique au sens propre. Je me contenterai de parler d’une expérience personnelle en tant que secrétaire d'un bureau de dépouillement.

En effet, j'ai eu la chance et le devoir de me voir attribuer ce poste. Lorsqu'il y a quelques mois les élections ont pointé le bout de leur nez, je me suis dit que ce serait une expérience enrichissante et que cela aiderait mon père qui était une fois de plus désigné président. Mon intention n’est nullement de me vanter, il serait bête de le faire et pour ce genre de situation particulièrement.

La nouveauté de ces élections était que le dépouillement se faisait par ordinateur. Nous devions encoder au fur et à mesure les bulletins de votes dans deux ordinateurs pour qu'il n'y ait aucun problème de comptage. Une bonne nouvelle à priori pour ne pas se retrouver avec un trou de 100 bulletins en fin de journée mais qui peut vite se transformer en cauchemar quand, à la soirée de formation, le programme « DEPASS Â» met 20 minutes à démarrer.

 Comme mon prof de philosophie le disait, il ne faut ni être technomaniaque ni technophobe. J'ai donc essayé de rassurer le paternel tout en restant conscient de la possible difficulté à prendre le système informatique en main.

Dimanche après-midi après un weekend déjà chargé nous sommes donc partis à l’aventure. Tel deux habitués du bistro nous avons parcouru les sujets fétiches que sont le foot le vendredi en allant voir les diables et la politique le dimanche en allant voter puis dépouiller.

Alors comment cela s'est-il passé ? Nous sommes arrivés à mettre le système en place avec l’aide de la technicienne, il nous a fallu un peu de temps pour conditionner les assesseurs qui ont assez vite pris la main et nous étions partis. Ce fut une autre affaire avec les témoins de parti qui ont confondu le verbe témoigner et contrôler.

Nous avons progressivement augmenté la cadence sans top d'accroc bien que, même si le système prévoyait de corriger les erreurs humaines, nous avons dû en régler quelques-unes la goutte au front.

Nous avons terminé vers 20h Ce qui nous a donc fait 6h de travail. Elles furent assez éprouvantes parce que j’étais au second ordinateur, celui qui corrige les fautes du premier et papa préférait que ce soit toujours moi à ce poste pour réagir face aux problèmes.

Enfin de compte c'était une bonne expérience et j'y retournerai si on a besoin de moi mais je ne suis pas non plus contre le fait de passer la main.

Ma vie: Bienvenue

MON EXPÉRIENCE DU FIFF 2018

semaine du 8 octobre 2018


Cette année, J’ai eu l’occasion de participer à un jury du FIFF et ainsi représenter l’université ce dimanche dernier.

Recentrons tout d’abord les choses. Le FIFF c’est le festival international du film francophone. Une semaine par an, début octobre des films sont projetés dans différentes salles de Namur et dans des bâtiments comme le théâtre ou la bourse. Une série de prix sont décernés. C’est une affiche pour les jeunes réalisateurs et une chance de montrer son travail à un grand nombre de personnes. Les films sortent en avant-première et c’est donc une chance de rencontrer des auteurs et de profiter de films à bas prix.

Je n’avais pas été l’année passée car je vaquais à d’autre occupations. L’organisation de ma nouvelle vie me prenait beaucoup d’énergie mais cette année j’ai eu l’occasion d’en profiter pleinement.

Au début du cours Introduction au langage cinématographique, le professeur nous a demandé qui était intéressé pour faire partie du jury courts métrages de l’université. Je me suis engagé car j’y voyais une expérience intéressante et une journée qui sort de l’ordinaire avec mes amis.

Me voilà donc embarqué tout un dimanche à regarder 23 courts métrages chacun dans leur style en passant par des films d’animations ou des reportages. 4 Sessions d’environ deux heures et demi sur la journée ce n’est pas rien ! Disons que le temps pouvait passer assez rapidement et puis plus lentement au court métrage suivant.

Nous étions 6 jeunes, une française en Erasmus deux étudiants de 3ème année, deux de deuxième et moi. Après chaque séance nous débriefions rapidement sur ce que nous avions aimé ou non. Le professeur était globalement d’accord avec nous mais ne nous donnait son avis que lorsque nous avions tous dit ce qui nous avait plu. Si bien que nous avons succombé à la tentation de lui faire croire que nous avions adoré un film d’animation qu’il avait manifestement détesté au vu de son intérêt lors du visionnage. La supercherie a bien fonctionné et on en a bien ri quand nous lui avons avoué.

En dehors de ce fait, Monsieur Gabrielle ma fait part du fait qu’il nous trouvait justes mais exigeants. Ce n’était en effet pas évident de juger car nous n’en avions pas l’habitude. Je décrirais cela comme une activité passive active car nous avions un rôle à jouer. En plus du prix honorifique, l’université délivrait 500 euros au vainqueur.

J’ai apprécié un grand nombre des courts-métrages que j’ai pu observer même si j’aurais cru entrer dans des univers plus extravagants. Comme je le pensais, les jeunes réalisateurs passent par une période de court métrage avant de se lancer dans quelque chose de plus conséquent. J’aurais dès lors cru qu’ils tenteraient de créer quelque chose de marquant qui aurait pu plaire fortement ou déplaire. J’en ai vraiment aimé beaucoup mais je n’ai pas été subjugué par un seul par des choix cinématographiques ou par un élément inattendu.

Je dois aussi avouer que c’était agréable de passer devant la file avec son badge, Â« jury université de Namur Â» et d’avoir ses places réservées au centre de la salle. De plus nous avions un libre accès pour assister à tous les autres films du FIFF gratuitement.

Après délibération nous nous sommes mis d’accord pour un film où une jeune femme dans une voiture appelle la police de nuit pour se libérer d’un homme l’ayant violentée. Les dialogues étaient bien travaillés, j’ai bien aimé la façon dont la policière prenait des informations sans que le conducteur ne s’en rende compte. Le suspens était tenu pendant les 20 minutes et le nom « une sÅ“ur Â» résonne différemment avant et après projection.  Nous n’étions pas tout à fait à coté de la plaque car ce film a reçu 3 autres prix décernés par des autres jurys parallèles tenus par des chaines de télévisions ou autres.

L’expérience était une réussite, elle m’a permis de connaitre les membres du jury que je ne connaissais pas et de me laisser un excellent souvenir. De plus le professeur nous connait maintenant par notre nom et est content de notre implication dans le projet qu’il a en partie mis sur pied et ce n’est pas négligeable. Nous avons également pu profiter d’un rapide restaurant entre deux sessions de projection payé par l’université où là aussi des places nous étaient réservées.

Mais l’aventure ne se termine pas ici car j’ai été voir un autre film dan le cadre du cours du nom de « Fortuna Â» parlant d’une immigrée noire de 14 ans enceinte d’un homme de 34 ans. Tout cela dans le décor enneigé de la Suisse. Le film était en noir et blanc et était sur un format davantage carré que les films plus conventionnels.

Le film était lent, volontairement lent mais peut-être un peu trop pour un public non averti. Nous avons eu la chance de pouvoir communiquer avec le réalisateur pendant une heure. Nous nous sommes attardés sur plusieurs points mais j’aimerais insister sur cette lenteur. Pour lui, elle permet d’instaurer un certain climat, une ambiance qu’on ne pourrait pas amener autrement. Cela laisserait du temps pour que le spectateur puisse se retrouver avec lui-même. Je dois avouer que je comprends ceci et que je suis partiellement d’accord mais j’ajouterai qu’il faut trouver un juste milieu pour ne pas perdre une grande partie de la salle. Je ne pense pas que cela intéresse les réalisateurs de films d’auteurs.

Enfin j’ai été voir un dernier film en avant-première avec ma copine. « Voyez comme on danse Â» de Michel Blanc. Il s’agit là de son dernier film après 16 ans d’absence en tant que réalisateur. C’était une espèce de suite de son précédent film « Embrassez qui vous voudrez Â» sans vraiment en être une puisque certains personnages étaient morts et que l’intrigue avait fortement changé.

J’ai bien aimé ce film pour son caractère léger mais aussi cinglant à souhait avec des répliques subtilement écrites et jouées. C’est une comédie amusante et pas prise de tête. L’idéal dans le contexte qui était le mien ; après avoir regardé autant de choses pas forcément tout public.

Après la projection, Michel Blanc et Karine Villard sont venu répondre à quelques questions. Cette séance était très intéressante et je retiendrai ce que pense Michel Blanc des dialogues : Â« Les dialogues, ce sont le discours de l’âme des personnages. Â»

Voilà, je pense avoir fait ce festival de fond en comble. Si j’avais vraiment voulu tout faire j’aurais pu aller voir plus de films ou j’aurais peut-être pu me présenter comme figurant pour faire partie des bases de données mais je n’en avais pas envie.

Une chose est sure, j’y retournerai volontiers l’année prochaine.

Ma vie: Bienvenue

MON RAPPORT À LA CRÉATIVITÉ

semaine du 1er octobre 2018

Depuis petit, je m’intéresse à certaines choses que d'autres ont délaissées, comme moi je délaissais certains éléments que d'autres trouvaient primordiaux.


J'en prends pour preuve tous les jeux de construction, il est vrai que je n'ai jamais passé des journées entières à construire et déconstruire des châteaux de bois et cela ne m'a sûrement pas aidé pour la physique et les mathématiques quelques années plus tard.


Je n'ai pas non plus créé des villes de Playmobil , inventant et réinventant l'histoire de nos civilisations sans le vouloir.


Pourtant je n'ai jamais cessé de m'inventer des histoires, tout enfant le fait mais je pense que je dépassais la moyenne. Jusque très tard (la semaine passée pour dire vrai) je me vois m'imaginer un singe virevoltant à côté de moi lors des longs voyages en voiture pour ne jamais nous perdre de vue et me faire passer le temps. Au fur et à mesure des années, il avait gagné un super costume rose avec des flammes pour avoir plus de style et un skate-bord pour se faciliter la vie, la vieillesse n'aidant pas...


Si bien que naturellement, quand je fus en mesure d'écrire, je me suis mis à écrire ses histoires qui me trottaient dans la tête. Je me souviens que lorsque les actes que mon corps réalisaient ne nécessitaient pas toutes les capacités de mon cerveau, celui-ci se mettait à divaguer.


Ainsi, plusieurs poèmes, chansons et d'autres formes créatives furent inventés. Voici en exclusivité une chanson créée une après-midi où je travaillais dans le jardin. Je vous prie d'être indulgent car j'avais moins de 13 ans et je n'étais pas forcément doué. N'y voyez aucun engagement ou parti pris politique mais seulement un enfant n'y comprenant pas grand chose.


(image manquante, je fais le nécessaire mais elle se trouve dans les derniers posts)


Puis est venu ce que j'appellerai l'époque sombre. La nouvelle technologie a semé le trouble dans cet élan artistique. J'ai commencé à moins écrire et à plus jouer via différents engins électroniques. Je me suis aussi distancé des livres au plus grand désarrois de mes parents. Mes anciennes histoires m'apparaissaient dorénavant comme de vieux démons et des fantômes persistants. Je remercie donc mes parents de ne pas m'avoir mis davantage dans ce processus plus jeune et de m'avoir protégé un maximum de ses dérives.


Ne voyez pas dans ces propos une haine contre les différents jeux vidéo et réseaux sociaux. Je pense seulement que ceux-ci doivent être un maximum contrôlé sans prendre le jeune pour un imbécile ou un prisonnier. Ces mêmes jeux m'ont permis également de créer mes premiers projets créatifs dont je vous ferai part lors d'une prochaine chronique.


Cette digression faite, j'aimerais à présent revenir sur la période de réinsertion de l'imaginaire et la créativité dans ma vie dans un rôle plus central, je voudrais quand même insister sur le fait qu'ils n'avaient jamais vraiment disparus, cela aurait été difficile tellement ils sont inscrits en moi, mes études en sont la preuve.


Un jour, le courage de remettre une histoire neuve sur papier se fait plus forte que la peur de l'échec et que la paresse. Évidemment cela ne se passe pas en une fois mais j'ai peu à peu recommencé à écrire quelques lignes par ci par là et me suis remis progressivement dans le bain des lectures.

Si bien que me voici ici, à vous écrire. Je me sens de nouveau prêt et mature pour tenir quelque chose de propre et dont je serai fier sans que cela ne prenne trop de temps sur mes études, le cas échéant je m’arrêterai. Ce ne sera pas sous forme d'un roman ou d'une nouvelle mais plutôt d'un blog à l'ancienne. Chaque semaine, je vous parlerai de quelque chose qui me tient à cœur, une chronique dans laquelle vous pourrez lire quelque chose d'original, j'ai plein d'idées qui j'espère vous plairont.


Ne vous offusquez donc pas si beaucoup de fois le mot « je » est répété, si cela vous gêne ne vous forcez pas à continuer, en effet ceci est tout d'abord créé pour me faire plaisir.

Je vous remercie de m'avoir lu, n'hésitez pas à me faire des retours.


Je place ici une mention spéciale à ma copine qui m'a montré la marche à suivre pour devenir celui qui tiendra ceci au mieux.

Ma vie: Bienvenue
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